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Comment renforcer le rôle des organisations de fluviaux/bassins lacustres dans la promotion d’une utilisation et d’une gestion durables de l’eau en Afrique ? c’est le thème de l’atelier de deux jours organisé conjointement par la Commission de l’Union africaine (CUA) et le Conseil des ministres africains chargés de l’eau (AMCOW), en partenariat avec l’OMVS. [/pix_text][pix_text content_color=”body-default”]Le Haut-Commissaire de l’OMVS Hamed Diane Séméga a présidé ce 26 octobre la cérémonie d’ouverture. M. Séméga, dont l’Organisation assure depuis sa création le Secrétariat technique permanent du Réseau Africain des Organismes de bassin (RAOB), était sans doute l’une des voix les plus autorisées pour s’exprimer sur le sujet. Il a salué l’initiative, en rappelant la place prioritaire de l’eau dans les enjeux de développement durable, les menaces sur la ressource en raison des changements climatiques, les engagements successifs de la communauté internationale qui tardent à être remplis.[/pix_text][pix_text content_color=”body-default”]« le RAOB, depuis sa création en 2002, s’est évertué à contribuer activement à ces engagements par le biais du renforcement des organismes de bassin africains » a t’il précisé, en saluant les efforts considérables qui ont été consentis pour permettre une meilleure coordination de la gouvernance institutionnelle des ressources en eau . « Toutefois, nous devons continuer de persévérer dans cette direction qui nécessite des investissements importants dans la lutte contre le changement climatique à travers des stratégies d’adaptation importantes et cohérentes, la mise en place de feuilles de route conjointes entre nos institutions pour créer une synergie et une meilleure coordination dans le renforcement des rôles des organismes de bassin africains ». [/pix_text][pix_text content_color=”body-default”]Le Haut commissaire de l’OMVS a aussi plaidé pour une gouvernance solide des organismes de bassin transfrontaliers, cadre idéal pour trouver des solutions et créer des outils pour la gestion rationnelle des ressources en eau et la lutte contre les fléaux environnementaux en Afrique. « Des solutions existent et il nous appartient de les mettre en place avec le soutien de l’Union Africaine ». Avant de quitter ses hôtes, M. Séméga les a invités à participer activement à la réussite du prochain forum mondial de l’eau qui se passera en mars 2022 à Dakar « pour montrer aux yeux du monde le rôle vital des bassins transfrontaliers dans la lutte contre la pauvreté et pour le développement socio-économique de l’Afrique ». [/pix_text][/vc_column][/vc_row]